Monday 11 August 2014

Intouchables


Aujourd’hui nous avons regardé le film Intouchables. Il est un film français et a été réalisé par Olivier Nakache et Éric Toledano, sorti en France le 2 novembre 2011. Incroyablement, c’est le film français le plus vu en Europe de l'Ouest depuis 2000.
L'histoire est inspirée de la vie de Philippe Pozzo di Borgo chi est l’auteur du livre du nom « Le Second Souffle ».



 
Le film raconte la relation entre deux hommes qui sont très différent. Philippe est un aristocrate, riche et tétraplégique après un accident en 1993. Contrairement, Driss  est un immigrant du Sénégal qui a été six moins dans la prison,  il n'ait aucune formation mais il a venu son aide à domicile.

 

 
La relation entre Philippe et Driss devienne une amitié intense après de la compression, apprentissage et le respect mutuel. Le final du film nous pouvons voir une image des les véritables protagonistes de l'histoire qui ont les modèles à cette histoire. Ils sont restes très proches et aujourd'hui  Philippe s'est marié et a eu deux enfants et Abbel (Driss) s'est marié et a sa propre entreprise.

 

 

Friday 8 August 2014

Film: La Haine


Le lundi nous avons regardé le film La Haine donc je voudrais vous parler du film parce que je crois que 20 ans après de la sorti du film rien a changé dans la banlieue et la police.

La Haine est un film français en noir et blanc sur la banlieue de Paris réalisé par Mathieu Kassovitz et sorti en 1995. Cette une histoire sur un jour de trois amis, un juif, un arabe et un noir dans la banlieue du Paris.

Ce film est inspiré de l'histoire vraie de Makomé M'Bowolé, tué d'une balle dans la tête par un policier lors de sa garde à vue dans le 18e arrondissement de Paris en 1993.

Le film se déroule au lendemain d'une nuit d'émeutes opposant la jeunesse et la police dans la cité des Muguets à Chanteloup-les-Vignes.  

Ces émeutes étaient consécutives à la bavure d’un inspecteur du commissariat qui avait  blessé un jeune du nome Abdel qui est un résident de la cité.
 
Comme j'ai dit dans le film il y a trois amis d'Abdel: Vinz, Hubert et Saïd. Vinz a un tempérament violent et veux faire de vengeance au nom d'Abdel. Hubert est un dealer de haschisch et pense à quitter la cité pour une vie meilleure. Saïd est un médiateur entre Vinz et Hubert à propos de vengeance du Vinz.

Le film se répand dans la cité qu'un policier a perdu son revolver durant la nuit des affrontements. Vinz l'a trouvé et il veut tuer un policier au cas où Abdel ne sortirait pas du coma. Hubert le désapprouve mais Vinz le garde en permanence dans son pantalon.

Le film met en scène la vie des jeunes banlieusards qui s'ennuient et développent de la haine pour un système dans lequel ils ne se reconnaissent pas.

Ils vivent la journée plus importante de leur vie. La langue parlée c’est le « Le verlan » que fait son apparition au années 80. Le verlan veut dire envers à l'envers (en vers/ vers-en=verlan). Ils utilisent aussi l’argot qu’un langage très familier. Par exemple, en argot l'argent se dit également le fric, l'oseille, le blé, la tune. La  prison se dit également la taule, le placard.



En Argentine, une nouvelle méthode d'enseignement permet aux jeunes élèves de réussir en classe



J’ai trouvée cette information de la spécialiste de l'éducation de l'UNICEF en Argentine, Elena Duro qu'est très intéressante.  La source est UNICEF , une information du Par Thomas Nybo.
 
« Durant les six premiers mois de première année d'école, une jeunne fille du nome Maria Angel avait beaucoup de mal à se maintenir au niveau des autres élèves. (…) Elle ne savait pas lire et sa mère craignait que Maria Angel n’échoue et ne doive redoubler sa première année, un problème banal en Argentine.


« Mais lorsqu'une nouvelle méthode d'enseignement a été mise en place, Maria Angel a commencé à s'épanouir.  



Cette approche innovante est axée sur des façons nouvelles et concrètes d'enseigner les mathématiques, la littérature et les sciences. Une attention supplémentaire est portée à l'enfant menacé d'échouer, particulièrement au cours de la première année d'école qui est déterminante. »


Des résultats spectaculaires

La directrice de l'école de Maria Angel, Susana Sanchez, pouvait à peine croire les résultats. « Avant le lancement du programme, » dit-elle, « 20 pour cent des élèves devaient redoubler leurs classes. Mais à présent, nous avons ramené ce nombre à 2 pour cent. »





Maria Angel a appris à lire et a développé un véritable amour pour des histoires comme « Blanche-Neige et les sept nains ». Son attitude envers l'école a été transformée.

« Quand je serai grande, j'aimerais être enseignante et apprendre à lire et à travailler aux enfants, » dit-elle.


« Le rêve de chaque mère »
 
La nouvelle méthode d'enseignement, qui a été conçue par l'UNICEF, encourage les parents à jouer un rôle actif dans les études de leurs enfants.

Au début et à la fin de chaque journée d'école, les parents se réunissent à l'extérieur de l'école et discutent des progrès des élèves avec les enseignants et les autres parents. Ils parlent des cas de réussite mais échangent aussi leurs frustrations ou leurs idées sur les moyens d'aider les élèves en difficulté.

«Je n'ai jamais achevé ma scolarité alors, au début, je pensais que peut-être mes enfants non plus ne pourraient pas terminer la leur, » dit la mère de Maria Angel, Rosa Gomez. « J'essaye de les aider, du mieux que je peux, à avoir une bonne école et à finir leurs études, ce que je n'ai jamais fait. C'est le rêve de toute mère pour ses enfants. »

En faisant participer les enfants lorsqu'ils sont jeunes, enseignants et parents font décroître la probabilité d'abandon scolaire lorsqu'ils atteindront l'enseignement secondaire.



 
Un effet durable
 
« Il s'agit d'une méthode innovante conçue pour réduire l'échec scolaire, au niveau primaire et secondaire, » dit la spécialiste de l'éducation de l'UNICEF en Argentine, Elena Duro. 


Elena Duro ajoute que l'approche offre de nouvelles méthodologies pour enseigner les mathématiques et la littérature. Elle a pour but de créer un environnement protecteur pour les élèves, y compris des mesures pour veiller à la santé des enfants et éviter qu'ils soient maltraités ou exploités.

Ici en Argentine, l'espoir et la confiance sont en train de revenir chez des enfants qui étaient sur le point de se voir refuser le droit fondamental à l'éducation qui est garanti par l'article 28 de la Convention relative aux droits de l'enfant. Les avantages s'en feront ressentir pendant des générations.”

La source: UNICEF / Education/ Argentina 51077